Il faut les fuir ces Chevals morts, ceux-là qui nous poussent à commettre des erreurs, de celles qui nous séparent, nous détournent, nous font prendre des chemins divergents. Mais comment faire en sorte de rester deux, de continuer à s’ aimer alors que les Chevals tentent de nous convaincre qu’ ailleurs peut-être... seul·epeut-être... ce serait mieux ?
Un texte comme un chant, au rythme haletant et mélodieux ; un hymne à l’ amour, au couple ; une course contre la tristesse et la solitude.
nous serons si libres que nous attacher ne nous fera
pas peur